Huitième long métrage de fiction de Bernard Émond, «Pour vivre ici» raconte l’histoire de Monique qui décide, suite à la mort de son mari, d’aller visiter ses enfants à Montréal et de retourner dans sa ville natale près de Sudbury en Ontario. Sorte de road-movie, le film marque la quatrième collaboration entre le cinéaste et Élise Guilbault en plus de proposer une ... [suite]

Ayant fait sa place dans l’industrie audiovisuelle comme accessoiriste, Léa Parent-Pothier s’est jointe à l’aventure de «Le garagiste», le premier long métrage de Renée Beaulieu, en 2014 en tant que directrice artistique. Depuis, elle cumule les expériences dans sa profession originale sur des projets aussi variés que la série jeunesse «Ouache !», «Mirador», «Baby Boom» et «Et au pire, on se mariera» ... [suite]

Issu du milieu documentaire («De Garde 24/7, «Unnu Nikamu : Chanter la résistance»), Philippe St-Gelais en est à sa deuxième collaboration avec Renée Beaulieu. Trois ans après «Le garagiste», le directeur photo renoue avec la cinéaste pour «Les salopes ou le sucre naturel de la peau», un film provocateur qui aborde, entre autres, le sujet de la sexualité féminine. Contrairement au précédent ... [suite]

En plus de scénariser, monter et réaliser, Renée Beaulieu produit son plus récent long métrage «Les salopes ou le sucre naturel de la peau». Racontant la sexualité d’un point de vue féminin et positif, la cinéaste s’est entourée d’une équipe de producteurs pour l’épauler dans son aventure. Parmi eux, Ian Olivieri et Ian Quenneville refont équipe avec la ... [suite]

Profond admirateur de Jean-Claude Labrecque, Michel La Veaux a choisi d’immortaliser à l’écran l’oeuvre d’un des plus grands réalisateurs et directeurs photo québécois. À travers «Labrecque, une caméra pour la mémoire», coproduit par l'ACPAV et l’ONF, le cinéaste derrière «Hôtel la Louisiane» s’est fait un devoir de transposer le travail d’un grand homme de ciné... [suite]

Le long métrage documentaire «Labrecque, une caméra pour la mémoire» de Michel La Veaux sera présenté en première mondiale au 36e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue (FCIAT), à Rouyn-Noranda, en présence du réalisateur, grand ami et habitué du festival.... [suite]

Le conseil d’administration du Fonds Québecor, à la suite du dépôt du 6 juin 2017, vient d’annoncer les noms des producteurs et distributeurs dont les projets bénéficieront d’une aide financière dans le cadre de la 14e ronde de financement de son programme d’aide à la production événementielle et cinématographique (PAPEC). ... [suite]

Michel La Veaux ne s’en cache pas, il a énormément de respect pour le réalisateur Sébastien Pilote qu’il considère comme l’un des grands réalisateurs québécois de notre époque. Ayant capté les images de ses deux premiers longs métrages, « Le vendeur » et « Le démantèlement », il s’est fait un plaisir de retrouver leur complicité d’exception sur le ... [suite]

Sur le plateau de « La disparition des lucioles », le directeur artistique Éric Barbeau (« Le torrent », « Les êtres chers », « Ceux qui font les révolutions »), qui travaille autant dans le secteur de la publicité que dans celui du cinéma, collaborait pour la première fois avec le réalisateur Sébastien Pilote. Nous avons discuté avec lui afin d’en apprendre davantage sur l’atmosphère visuelle du film. ... [suite]

L’idée du récit de « La disparition des lucioles », le troisième long métrage de Sébastien Pilote, s’est dessinée avant celle du second de sa filmographie, « Le démantèlement ». Une fois la première version écrite, le scénariste et réalisateur avait toutefois pris la décision de le tabletter temporairement. « Il manquait toujours un élément dramatique important, nous explique-t-... [suite]