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Le chemin d'eau de la basse Côte-Nord
Projet
Préproduction
Production
Postproduction
Terminée
Présentation
Le voyage que propose le réalisateur Jean-Claude Labrecque comporte sa grande part d’Humanité. Le premier voyage du Nordik Express sert aussi de prétexte à la découverte d’un chapelet de petites communautés avec leurs caractéristiques propres. Si chaque village dépend de l’apport de l’extérieur en biens de consommation, tous ceux qui les habitent font preuve de grande indépendance et de fierté d’appartenir à ce pays. C’est la découverte de villages aux visages différents, même s’ils s’épanouissent côte à côte. L’arrivée du navire sonne aussi le départ des migrants de la côte. Les villages vont perdre jusqu’à la moitié des hommes au cours de l’été. Véritable vague saisonnière, la région va subir le ressac de ces départs. Les hommes iront travailler dans les chantiers de construction en Alberta et en Ontario. Plusieurs prendront le chemin des camps forestiers du nord du Québec et de l’Ontario. Véritable transhumance qui chasse les chefs de famille le printemps venu et les ramène au bercail au seuil de l’hiver.
Le documentaire s’adresse à un public anglophone et francophone. La Basse-Côte parle l’anglais autant que le français. Elle résonne aussi bien de la langue des Montagnais. Les gens de ce pays vont parler dans leur langue maternelle.
Dates clés
Calendrier de production
Année production | 2004 |
Générique
Crédit
Technique
Artistique
PVP MÉDIA | Maison de production | |
Jean-Claude Labrecque | réalisation | |
Jean-Claude Labrecque | scénarisation | |
Robert Tremblay | scénarisation |
Technique
Fonds canadien de télévision | participation financière |
François Gill | montage |
Télé-Québec (studios) | diffusion |
Vic Pelletier | production |
Artistique
Robert Tremblay | narration |
Spécifications
Type de production | Long métrage |
Genre(s) | Documentaire |
Langue version originale | Français |
Nombre épisode | épisodes |