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Après 40 ans d'existence, l'ACPAV continue de faire sa marque dans la cinématographie québécoise. En septembre prochain, le premier long métrage d'un jeune réalisateur, «Le Vendeur», de Sébastien Pilote, arrivera sur les écrans québécois. Bernard Émond, fidèle à l'ACPAV depuis le début de sa carrière, travaille en ce moment à la conception de son prochain long ... [suite]

Au début des années 1970, hormis l'Office national du film, il y a peu de place pour la production cinématographique québécoise. C'est d'abord pour produire leurs propres films que Pierre Harel, Jean Chabot, Mireille Dansereau, Roger Frappier, Marc Daigle, Hubert-Yves Rose, André Théberge, Yves Beauchemin et d'autres décident de fonder leur propre boîte de production. En 1971, ... [suite]

Fondateur, un peu malgré lui, de l'ACPAV, Pierre Gravel a avoué, avec une voix éraillée par l'émotion, qu'il rêve de réaliser un dernier film. « J'ai plus de soixante ans et ne suis pas en très bonne santé. Ma carrière de cinéaste a commencé avec l'ACPAV et, aujourd'hui, j'aimerais réaliser un dernier film avant de partir. » Avec ... [suite]

De retour au conseil d'administration de l'ACPAV depuis peu, René Gueissaz a été producteur pour la coopérative pendant plusieurs années. « Ç'a occupé une partie de ma vie, a-t-il expliqué lors d'un soirée-hommage à l'ACPAV tenue récemment à la Cinémathèque québécoise. Je pense que le dynamisme de l'ACPAV vient de l'amour que ses membres portent au ... [suite]

Le tout premier film de fiction de Léa Pool, «Strass Café», était un moyen métrage en 16mm, mais c'est avec «La Femme de l'hôtel», produit par l'ACPAV, que la cinéaste québécoise entame sa carrière. «J'ai tourné le film en 1983 et il est sorti en salle l'année suivante, confie la réalisatrice. On se souvient de tous ... [suite]

L'ACPAV a souligné ses 40 ans d'existence à la Cinémathèque québécoise. Terreau fertile pour de nombreux cinéastes québécois, l'association aura produit plus de quarante longs métrages lancés en salle et plus de cinquante productions (documentaires et séries) pour la télévision. Ayant toujours encouragé une vision d'auteur, plusieurs réalisateurs ont profité de l'occasion pour ... [suite]

C'est l'ACPAV qui a permis à Benoît Pilon de réaliser son premier long métrage de fiction, «Ce qu'il faut pour vivre». «J'étais en train de scénariser un projet de fiction et j'ai approché Bernadette Payeur, raconte le cinéaste. L'ACPAV m'a soutenu pendant deux pour l'écriture, mais finalement, le projet n'a pas abouti. C'est là que Bernadette ... [suite]

De son premier long métrage «Les Grands enfants» jusqu'à «La Déroute» en 1998, Paul Tana a réalisé tous ses films avec l'ACPAV comme producteur. Il va sans dire que, pour lui, l'ACPAV demeure un lieu de production extrêmement important. «Il y a un esprit ACPAV, confie-t-il. C'est un lieu qui a permis à plusieurs réalisateurs québécois de faire leur ... [suite]

Pour souligner l'arrivée du printemps et donner aux cinéphiles le goût de mettre le nez dehors, la Cinémathèque québécoise a préparé une programmation riche en événements de toutes sortes : des projections de films produits et soutenus par l'Association coopérative de productions audiovisuelles (ACPAV) pour souligner son quarantième anniversaire, un colloque portant sur la Nouvelle Vague et le ... [suite]