La cinéaste Léa Pool créée depuis quelques décennies une oeuvre à part dans la cinématographie québécoise. Cette rétrospective importante se déroulera en présence de la réalisatrice.... [suite]

Découvert dans «L’amour au temps de la guerre civile» de Rodrigue Jean et avec «Maudite poutine» de Karl Lemieux, puis révélé dans «Et au pire, on se mariera» de Léa Pool et «Chien de garde» de Sophie Dupuis, Jean-Simon Leduc commence à être un visage de plus en plus reconnu de l’univers cinématographique québécois. Même à la télévision, il ... [suite]

Après 53 ans de métier, Pierre Mignot se verra décerner le prix Iris Hommage lors du prochain Gala Artisans Québec Cinéma. Pour une rare fois, c’est le talent d’un artisan de l’ombre qui est mis en lumière avec cette attribution. C’est avec fierté que Ségolène Roederer accompagnait Louis Bélanger et Léa Pool, deux collègues et ... [suite]

Le Festival Les Percéides ouvre les inscriptions de son École de cinéma d’été de Percé qui se déroulera en Gaspésie du 11 au 18 août 2019 et promet encore une fois d’être un rendez-vous éducatif et artistique fort prisé en Gaspésie et au Québec.... [suite]

Louis Dussault a l’amour du cinéma depuis toujours. Déjà en 1986, il demandait au gouvernement de soutenir le secteur de la distribution. Il a dirigé Les Films du Crépuscule pendant 17 ans. Sa première boîte a fait venir « La loi du désir » faisant découvrir Pedro Almodovar aux Québécois. C’est aussi lui qui a distribué les premiers films de Pierre ... [suite]

C’est en tant que chef accessoiriste que Patrice Bengle a amorcé sa carrière derrière la caméra. Après avoir enchaîné les projets, il passe chef décorateur sur «Joyeux Calvaire» de Denys Arcand et, au début des années 2000, devient directeur artistique. Depuis, il travaille sur des projets aussi ambitieux que variés alternant entre les oeuvres d’André Forcier, Léa Pool, ... [suite]

Monteuse à la fiche particulièrement impressionnante, Dominique Fortin a voyagé dans plusieurs grandes villes du monde depuis 35 ans afin d’accomplir son rôle. Entre «La grande séduction» de Jean-François Pouliot et «Double peine» de Léa Pool, son travail est marqué par des productions québécoises et américaines d’envergure et d’autres destinées au Canada anglais. Plus récemment, elle a ... [suite]

Cinémaginaire et Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One soulignent que le tout nouveau documentaire de Léa Pool («L’industrie du ruban rose»), «Double peine», a pris l’affiche au Québec le vendredi 3 novembre. ... [suite]

Avec «Double Peine», Léa Pool revient au cinéma documentaire. S’intéressant au parcours d’enfants dont les mères sont incarcérées, la réalisatrice se déplace dans quatre pays du globe, le Népal, le Canada, la Bolivie et les États-Unis, pour poser sa caméra sur une réalité qui sépare cruellement ces jeunes de leur parent. «L’enfant est puni ... [suite]

C’est avec Léa Pool que Denise Robert a assuré sa première production. Depuis «À corps perdu», les deux femmes partagent une relation professionnelle traversée par différentes collaborations («La demoiselle sauvage» et «Mouvements du désir») et cristallisée par une sincère amitié réciproque. C’est sans surprise qu’elles se retrouvent avec «Double peine», le nouveau long métrage documentaire réalisé par la ... [suite]