Fondé en novembre 2005 en partenariat avec le Cégep de Matane, le Campus Ubisoft a fait des petits depuis sa première cohorte de diplômés. Deux ans après sa fondation, le Campus Ubisoft a pris pied à l'Université de Sherbrooke, à l'Université de Montréal et à l'Université McGill. Le taux de placement dépasse les 85 %, selon Philippe Turp, directeur de la formation, Campus Ubisoft, ... [suite]

Destin du sort peut-être, Autodesk et Ubisoft ont d'abord partagé un même toit. En effet, l'immeuble au coin des rues St-Laurent et St-Viateur a d'abord accueilli Discreet (devenue depuis Autodesk). Aujourd'hui, les deux entreprises ont une relation très proche et très intime, les produits Autodesk étant au coeur du pipeline d'Ubisoft, explique Marc Petit, premier vice-président et ... [suite]

Quazal a fourni sa technologie multijoueur Quazal SyncSim for Net-Z pour Splinter Cell 3: Chaos Theory et a collaboré sur d'autres projets de l'entreprise de la rue Saint-Laurent: Rocky Balboa, Tom Clancy's Rainbow Six: Vegas, Driver 76 et Splinter Cell Conviction, qui sortira des studios d'Ubisoft dans les premiers mois de l'année 2008. Mais, explique Mike Drummelsmith, directeur des relations avec les ... [suite]

L'arrivée d'Ubisoft à Montréal a, certes, créé de nombreux emplois, mais la présence d'une entreprise de cette taille a également des retombées pour d'autres entreprises montréalaises. Ubisoft établit des partenariats, utilise des technologies, fait appel à des sous-traitants. Si le terreau était propice au Québec à l'animation linéaire, avec la présence de l'ONF, et à l'infographie, il est ... [suite]

Montréal, et le Québec en général, était un terreau tout à fait fertile pour accueillir Ubisoft. L'aventure d'une industrie spécialisée dans les nouvelles technologie a commencé il y a 20 ans, avec la naissance de Softimage, puis de Discreet Logic, rappelle Marc Stevens, vice-président et directeur général de Softimage. «En ce qui a trait à l'industrie du jeu, c'... [suite]

Montréal compte 2700 entreprises en nouvelles technologies, qui créent 110 000 emplois, dont 5000 dans le domaine du jeu vidéo. Et Ubisoft est une de ces jeunes entreprises dynamiques, rappelle Alan DeSousa, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable du développement durable et du développement économique. «Ces entreprises choisissent Montréal parce qu'elles y trouvent le talent nécessaire, ... [suite]

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Arrivé à Montréal avec la première équipe française d'Ubisoft en 1997, Gilles Monteil est donc un vieux de la vieille, comme on dit. Dix ans plus tard, il occupe le poste directeur métier Animation et ne regrette pas d'avoir traversé l'Atlantique pour une vie nouvelle. Il a vraiment fait partie de la croissance de l'entreprise de jeux vidéo et considère qu'... [suite]

L'arrivée d'Ubisoft à Montréal a certainement eu un impact significatif sur l'industrie québécoise du jeu vidéo. D'embryonnaire, avec ses quelques petits studios qui travaillaient sur des projets à petite échelle, elle a pris son envol. C'est du moins l'avis de Jason Della Rocca, directeur exécutif de l'IGDA Montréal. En s'installant à Montréal, Ubisoft a ouvert les vannes ... [suite]

On accrédite la venue d'Ubisoft à Montréal à Bernard Landry, alors ministre des Finances. Le Lien MULTIMÉDIA est donc allé à la source, M. Landry lui-même, pour qu'il raconte comment s'est passée l'arrivée du géant français du jeu en terre québécoise. Évidemment, la décision et les tractations ne sont pas venues comme un cheveu sur la soupe, ... [suite]